vendredi 17 avril 2009

Acheter du logiciel n'est pas acheter une voiture.

Certaines personnes pensent qu'à partir d'un certain prix, tout se négocie.
Pour l'achat d'une voiture par exemple, cela parait naturel. Le vendeur sait quel est sa marge, et en cas de négociation, il sait quand il y perd, et quand il y gagne.
Dans le cas du développement logiciel, cela se complique : Le périmètre est rarement bien défini, et il n'est pas rare que le client négocie une modification de ce périmètre sans même rediscuter le prix.

Au bout de la chaine, c'est le développeur qui devra faire dans le même temps du travail supplémentaire.
Mais ce dont ne se rend pas compte le client, c'est que le risque est une baisse significative de la qualité de son logiciel.
Sans parler de la démotivation du développeur qui se sent lésé de devoir travailler plus pour le même temps...

Ma conclusion serait donc de dire aux clients : soyez raisonnables et fixez vous même un périmètre précis et strict.

Comme dirait une de mes connaissances : sinon c'est la porte ouverte à toutes les fenêtres :-)

jeudi 2 avril 2009

Développeur : se former en permanence...


Il y a des métiers où l'acquisition d'un savoir faire ou d'une expérience se capitalise pour la durée de sa vie professionnelle.
Mais rare sont les métiers nécessitant une telle remise en question que celle de développeur ou ingénieur informaticien.
J'ai la chance actuellement de suivre une formation professionnelle en entreprise. Et peu de personnes s'aperçoivent de la plus value dans ce métier.
Les informaticiens doivent certes s'auto-former, mais le passage par un centre de formation, parfois, est une plus value souvent sous-évaluée par les employeurs.

Alors employeurs, formez vos informaticiens !!!

mercredi 18 mars 2009

Quand rien ne va plus avec votre ordinateur...


J'ai le Mac qu'est patraque,
Le PC déglingué...

Pour la suite, c'est ici...

mardi 17 mars 2009

Incompris par son ordinateur !


Vous l'avez certainement déjà remarqué : l'ordinateur fait ce qu'on lui dit de faire, et rarement ce que l'on voudrait qu'il fasse. Car entre notre désir (ou volonté) et la réalité de nos actes, il y a parfois un fossé. Et oui, l'ordinateur n'est pas capable de lire nos pensées !
Bref, reste plus qu'à espérer que les développeurs de logiciels à venir seront plus aptes à guider vos pas vers moins d'ambigüité en nous proposant des interfaces plus adéquates.

mardi 10 mars 2009

HP 6830s KU406ET : Enfin un pc portable avec un écran mât !!!


Mon objectif n’est pas de pousser que des coups de gueules. En l’occurrence, sur ce billet, ce serait plutôt l’inverse : signaler et reconnaitre les mérites d’un pc portable (et donc d’une marque - HP). Mais aussi de partager les bons tuyaux…

Ayant trouvé récemment acquéreur de mon Fujitsu Amilo Xa2528 (écran brillant :-(, pas de driver XP :-(), j’ai fini par trouver enfin un ordinateur portable à prix raisonnable avec une dalle mâte : le hp 6830s KU406ET.

Voici un résumé de tous les avantages que j’ai trouvé :
  • Écran mât
  • Légèrement plus petit que les 17 pouces habituels (contours de l’écran plus fins et charnières basses)
  • Clavier relativement ergonomique (pas de touches mal placées, comme beaucoup de marques le font aujourd’hui)
  • Livré avec Vista Pro et XP Pro. (double avantage : Version de Windows Pro et les 2 versions sont fournies avec les licences. La plupart des portables sont livrés avec la version familiale de Vista)
  • Drivers XP et Vista fournis (mon précédent Fujitsu Amilo n’a même pas de driver XP existant pour certain des périphérique qu’il embarque)
  • Possibilité d’augmenter la mémoire (RAM) facilement. Je l’ai porté de 2Go à 4Go pour 27€ en 5 minutes.
  • Un processeur performant.
  • Prix sensiblement égal aux portables à écran brillant

Seul inconvénient pénalisant que j’ai trouvé pour l’instant, c’est qu’il n’y a pas de Led pour indiquer l’état du pavé numérique.

Bref, un produit que je recommande, et dont on s’aperçoit qu’il a les avantages d’un produit de professionnel pour un prix grand public.

jeudi 5 mars 2009

La dérive des projets informatiques

Quelques images valent bien mieux qu'un long texte...










Ingénieur informaticien

Aujourd'hui, nous sommes loin de la vision que l'on pouvait se faire d'un ingénieur un demi-siècle plus tôt : celui qui conduit la création ou construction d'ouvrages ou de travaux publics, (les routes, les ponts, l'exploitation des mines, …). Celui qui dresse des plans, créé des instruments etc. Celui qui exerce son art, par sa créativité, résolvant des problèmes complexes, à force de réflexion, méthode et rigueur.

Qu'en est- il actuellement ?
L'ingénieur informaticien n'est-il pas devenu l'ouvrier de l'informatique ? Avec, en comparaison, des conditions de travail plus agréables, et un salaire bien plus confortable.
Je pousse un coup de gueule car je m'aperçois qu'un certain nombre de candidats sorti d'école ne répondent pas aux critères objectifs voulus d'un ingénieur moderne :
L'autonomie, la technicité, le professionnalisme, l'encadrement, la compétence, l'auto-formation et l'expertise sont des qualités fondamentales à mon sens à tout ingénieur (informaticien ou non d'ailleurs).

Ayant participé, il y a quelque temps, à un jury (soutenance de stage de fin d'études) pour l'obtention du diplôme d'ingénieur, je me suis aperçu non sans effarement, de la disparité des candidats. Certes, certains ont montré de suite l'envergure de leur potentialité, et leur capacité à appréhender toutes les facettes de leur futur métier.
Mais à en juger certains autres par leur prestation, j'ai pensé qu'ils étaient plus proche de techniciens appliquant une méthode qui leur a été inculqué… Ayant participé aussi à certains recrutements, et vu beaucoup de CV, j'ai constaté aussi une disparité tout aussi équivalente, à diplôme égal.

Bref, le titre d'ingénieur est-il en danger ? Est-ce que notre société moderne, allongeant sans cesse les études n'est pas en train de dévaluer les diplômes ?
A vous de vous faire une opinion.

En attendant, je vous laisse méditer sur cette boutade :
"Il y a trois manières de se ruiner (...) : le jeu, les femmes et les ingénieurs. Les deux premières sont plus agréables, mais la dernière est plus sûre" (Auguste Detoeuf)